Le STEP a avancé à l’employeur une offre monétaire qui se décline en trois points :
1- Un ajustement de marché (2%) : nous avons une grille salariale à double entrée. Nous pouvons dire que les auxiliaires (peu importe la catégorie) ont un retard de marché allant de 1% à 9% (avec la moyenne) dans le réseau universitaire. Il s’agit, en moyenne, d’un écart de 4,3%.
2- Une augmentation salariale de 2,75% : nous demandons uniquement un ajustement de marché et non un montant pour la période comprise entre la fin de la convention collective et la signature d’une nouvelle ce qui veut dire que les salaires stagnent. Nous demandons alors une augmentation salariale intéressante pour compenser un appauvrissement des étudiants dû au fait que l’Université Laval a demandé à débuter la négociation tardivement. Cette augmentation salariale nous permettra également de concilier notre ajustement de marché.
3- Un rattrapage des autres universités sur les avantages sociaux :
3.1- Vacances de 7% à 8% : tel que le reste du réseau du Québec.
3.2- Congés fériés de 3,6% à 4% : afin de rejoindre le réseau université du Québec.
3.3- Assurances de 2% à 3% : afin de rejoindre toutes les autres universités qui ont une assurance collective (3%).
À noter que l’Université de Sherbrooke est à 13% pour les congés fériés, les vacances et les assurances collectives.
Solidairement.